Par Fabrice Hamon
Coup de cœur pour une maison, coup de stress pour le prêt ? On vous explique comment obtenir un crédit immobilier, simplement avec de drôles de métaphores !
Un crédit immobilier c’est comme une relation à long terme, mais dont on sait qu’elle s’arrêtera un jour dès le départ.
Et votre banquier est quelqu’un d’admirable : si vous avez acheté à deux et vous séparez avant la fin du crédit, votre banquier, lui, ne vous quittera pas…
Un crédit immobilier, c’est un peu comme un jeu de Lego géant.
Les briques de base, ce sont le capital emprunté et les intérêts à rembourser, qui s’emboîtent mois après mois pour construire votre projet, comme une maison qui s’élève peu à peu.
Le taux d’intérêt, c’est la notice de montage qui indique la taille et la forme des briques à assembler. La durée du prêt, c’est le nombre d’étages à bâtir : plus il y en a, plus il faudra de temps et de briques ! Et les mensualités, ce sont les petites mains qui assemblent patiemment toutes les pièces, en suivant le plan établi.
Bien sûr, comme dans tout jeu de construction, il peut y avoir des imprévus : une pièce qui manque (un retard de paiement), un changement de modèle en cours de route (un remboursement anticipé) ou même un tremblement de terre (un coup dur de la vie).
Mais avec de la persévérance et des fondations solides, vous finirez par construire la maison de vos rêves, pièce après pièce, jusqu’à ce que le crédit soit entièrement remboursé !
Le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF) joue un rôle crucial pour maintenir la stabilité du système financier français - ainsi que la stabilité du système financier des français - un peu comme un médecin qui veille sur la santé de ses patients.
Son objectif principal est de prévenir les risques qui pourraient faire s’effondrer tout le système, comme des dominos qui tombent les uns après les autres. Que s’effondrent aussi vos finances personnelles.
Pour cela, le HCSF fixe des règles pour l’octroi des prêts immobiliers, comme un taux d’endettement maximum de 35% et une durée de prêt limitée à 25 ans (ou 27 ans dans certains cas). Ces mesures visent à protéger à la fois les emprunteurs contre un endettement excessif et les banques contre des défauts de paiement qui pourraient les fragiliser.
D’aucuns disent que le HCSF prend soin d’un malade imaginaire, mais c’est lui qui leur tire la langue…
Pour commencer, il faut préparer un dossier.
Pour bien présenter votre demande de prêt immobilier, rassemblez soigneusement tous les documents demandés par la banque. C’est comme préparer sa valise avant un grand voyage : il ne faut rien oublier d’important !
Vous devrez fournir des pièces d’identité, c’est le passeport pour pouvoir partir dans un achat. Mais encore des justificatifs de revenus comme vos fiches de paie et vos avis d’imposition, ainsi que vos relevés de compte bancaire. Le banquier va chiffrer tout ça : il veut connaître la dot avant de se marier.
C’est un peu fastidieux mais c’est indispensable pour que la banque puisse étudier votre dossier correctement. Alors prenez le temps de réunir tous ces documents. Et surtout de bien les mettre en ordre.
Soit dit en passant, le courtier en prêt immo s’occupe de tout, paperasse incluse.
Lorsque vous demandez un prêt immobilier, avoir un apport personnel est comme apporter votre part du gâteau à une fête : cela montre votre engagement et rassure la banque sur votre capacité à rembourser le prêt.
Plus votre part du gâteau est importante, plus la banque sera contente de vous servir le reste à un taux intéressant. C’est comme si vous disiez à la banque : “regardez, j’ai déjà économisé tous ces morceaux de cake, vous pouvez me faire confiance pour rembourser le reste !”.
Généralement, si vous amenez au moins 20% du prix du bien vous-même, la banque vous fera un plus beau cadeau sur le taux d’intérêt, c’est la cerise sur le gâteau.
Par contre, si vous arrivez les mains vides, la banque risque de vous proposer un taux moins gourmand, avec 0,40% à 0,60% de plus, comme si elle vous privait de dessert.
Pour obtenir un prêt immobilier, vos revenus sont passés au crible par la banque, un peu comme un détective qui enquête sur votre situation financière et pour mieux dire, sur votre profil d’emprunteur.
Elle prend en compte votre salaire net si vous êtes en CDI ou fonctionnaire, comme un socle solide sur lequel s’appuyer. Les revenus locatifs comptent aussi, mais seulement à 70%, car ils sont considérés comme moins stables, tels un tabouret bancal.
Par contre, les heures supplémentaires, primes exceptionnelles et frais professionnels sont généralement ignorés, comme des pièces de monnaie égarées dans les poches…
L’important est d’avoir des revenus réguliers depuis plusieurs années, comme un ruisseau au débit constant, pour rassurer la banque sur votre capacité à rembourser dans la durée, ou bien à ne pas y couler, elle et vous ensemble.
L’endettement, c’est un peu comme si vous deviez de l’argent à quelqu’un, comme un ami à qui vous avez emprunté 10 euros.
Mais pour une banque, votre endettement c’est la somme de tous vos crédits en cours, comme un crédit voiture ou un crédit à la consommation. Plus vous avez de crédits, plus votre endettement est élevé. Les banques regardent de près votre taux d’endettement, c’est-à-dire la part de vos revenus qui part chaque mois dans le remboursement de vos crédits.
Si ce taux dépasse les 35%, la banque va se dire “Oulah, si on lui fille encore un crédit, il va finir sur la paille !”. Elle a peur que vous ne puissiez plus faire face à toutes vos mensualités. Sinon elle risque de venir squatter chez vous pour vous réclamer la monnaie de sa pièce !
Donc avant de demander un prêt immobilier, c’est bien de faire le point sur sa capacité d’endettement pour voir si on est en mesure de rembourser le prêteur.
Parlez-en à Hypo notre chatbot : il vous fait un diagnostic immédiatement.
Le reste à vivre, c’est comme l’argent de poche qu’il vous reste après avoir payé toutes vos factures du mois, comme le loyer, l’électricité, le téléphone et même les courses, sans oublier vos billets de loterie.
C’est l’argent que vous pouvez utiliser pour vous faire plaisir, sortir au restaurant ou au cinéma. Quand vous demandez un crédit immobilier, la banque regarde de près si vous avez un bon reste à vivre, afin de s’assurer que vous pourrez rembourser votre prêt sans trop vous serrer la ceinture.
Les banques accordent une grande importance à votre reste à vivre lorsque vous demandez un crédit immobilier. C’est un peu comme si elles vérifiaient que vous avez assez d’argent dans votre tirelire à la fin du mois pour faire face aux imprévus, comme une réparation de voiture ou l’achat d’un nouveau frigo.
Les banques veulent s’assurer que le remboursement de votre prêt ne vous mettra pas dans une situation délicate financièrement. Elles analysent donc en détail vos revenus et vos dépenses pour calculer le montant qu’il vous restera une fois votre mensualité de crédit payée.
Un reste à vivre suffisant est le signe d’une bonne gestion de votre budget, ce qui rassure les banques sur votre capacité à rembourser rubis sur l’ongle dans la durée.
Le saut de charge, c’est la comparaison entre le prix de votre loyer actuel et la future mensualité de votre crédit immobilier. C’est la différence entre les deux.
Par exemple, si vous payez un loyer de 700€ par mois et que votre mensualité de crédit sera de 800€, votre saut de charge sera de 100€. C’est comme si vous deviez sauter un peu plus haut chaque mois pour payer votre logement.
Les banques regardent de près ce saut de charge. Si il est trop grand, elles peuvent avoir peur que vous n’arriviez pas à faire ce “saut” tous les mois pour rembourser votre crédit. Mais si votre saut de charge est petit ou même négatif, c’est bon signe pour elles.
Ça montre que vous pourrez facilement passer du statut de locataire à celui de propriétaire, sans trop d’efforts supplémentaires.
Rassurez-vous, il s’agit de votre tenue de compte durant les trois mois qui précèdent votre demande de prêt. Ouf !
La tenue de compte joue un rôle crucial dans l’obtention d’un prêt immobilier. Les banques examinent minutieusement vos relevés bancaires des derniers mois pour évaluer votre capacité à gérer vos finances et à rembourser le crédit.
Les découverts bancaires sont comme des feux rouges pour les banques lorsque vous demandez un prêt immobilier. C’est comme si vous disiez à la banque “Attention, je ne sais pas bien gérer mon argent !”.
Même de petits découverts peuvent faire tiquer la banque et compromettre vos chances d’obtenir un crédit. Le mieux est donc d’éviter complètement les découverts dans les mois précédant votre demande en veillant à toujours avoir un peu d’argent de côté sur votre compte.
Pour réussir votre planification budgétaire, il faut l’aborder comme la préparation d’un bon plat. En la matière, les plats préparés n’existent pas.
Commencez par rassembler les ingrédients clés : vos objectifs financiers, vos données historiques et les tendances du marché, comme un chef qui sélectionne des produits de qualité.
Ensuite, suivez une recette éprouvée en fixant des indicateurs de performance précis, comme un pâtissier qui pèse soigneusement ses ingrédients. N’hésitez pas à remettre en question vos dépenses, tel un critique gastronomique exigeant, pour optimiser votre budget.
Enfin, utilisez les bons ustensiles : des outils de planification financière performants qui facilitent la budgétisation, le suivi et la collaboration, comme un couteau bien aiguisé dans les mains d’un grand chef.
Solder vos crédits en cours avant de demander un prêt immobilier, c’est comme enlever des poids de vos épaules pour pouvoir mieux courir vers votre projet.
Chaque crédit à la consommation que vous avez (pour une voiture, des travaux, etc.) alourdit votre dossier aux yeux de la banque. Comme un sac à dos trop chargé, cela vous ralentit dans l’obtention de votre crédit immobilier.
Alors si possible, débarrassez-vous de vos crédits en cours avant de vous lancer. Cela allégera considérablement votre dossier et rassurera la banque sur votre future capacité à rembourser son prêt à elle - avant celui des autres…
Clôturer vos crédits, autant que possible, au moins un, pour mettre toutes les chances de votre côté !
Votre historique de crédit est comme un bulletin scolaire qui reflète votre comportement financier passé.
Plus vous avez utilisé le crédit de façon responsable, en remboursant vos dettes à temps, meilleure sera votre note. Les banques scrutent cet historique pour évaluer le risque de vous prêter de l’argent, comme un professeur qui consulte le dossier d’un élève avant de le laisser passer dans la classe supérieure.
Attention, car tout retard de paiement de plus de 30 jours sera noté dans votre dossier pendant plusieurs années, tel une tache d’encre sur un devoir. Mieux vaut donc toujours éviter de manquer discipline, pour éviter un zéro pointé ou pour le moins d’être collé, voire recalé.
Le score de crédit, c’est un peu en effet comme les notes à l’école.
Plus votre score est élevé, plus les banques vous voient comme un bon élève à qui elles peuvent faire confiance et prêter de l’argent. Si vous avez toujours remboursé vos factures à l’heure, comme un élève assidu qui rend ses devoirs dans les temps, vous aurez une bonne note.
Mais si vous avez eu des retards de paiement ou des incidents bancaires, c’est comme des mauvais points dans votre bulletin scolaire. Les banques utilisent ce score comme un thermomètre pour mesurer le risque de vous accorder un crédit immobilier : en dessous d’une certaine température, elles peuvent être réticentes à vous prêter, comme un médecin qui vous prescrirait un repos bien mérité.
Heureusement, il existe des moyens d’améliorer votre score, comme réviser plus efficacement pour remonter sa moyenne : en étant rigoureux sur vos remboursements, en corrigeant les erreurs éventuelles et en maintenant un bon équilibre financier global.
Gérer ses dettes personnelles, c’est un peu comme ranger sa chambre : il faut s’y mettre régulièrement pour éviter que le désordre ne s’accumule.
La première étape est de faire le tri entre les “bonnes” dettes qui financent un projet d’avenir, comme un prêt immobilier, et les “mauvaises” dettes de consommation courante qui peuvent vite s’entasser comme des vêtements sales.
Si vous vous sentez débordé, n’ayez pas honte de demander de l’aide à un professionnel, comme on ferait appel à un ami pour un grand ménage de printemps. Rembourser ses dettes, c’est aussi une façon d’épargner sans risque, comme ranger de l’argent dans une tirelire incassable.
Avec de la méthode et de la persévérance, vous verrez vos dettes disparaître et votre situation financière s’éclaircir, comme un rayon de soleil dans une pièce bien ordonnée.
Mettre de l’argent de côté régulièrement est comme un feu vert pour les banques quand vous demandez un prêt immobilier.
C’est comme si vous leur disiez “Regardez, je sais bien gérer mon budget et garder de l’argent chaque mois, je ne dépense pas tout c’que j’gagne !”.
Les banques adorent les profils “petites fourmis” qui épargnent un peu tous les mois, même si les montants ne sont pas énormes. Cela les rassure sur votre capacité à rembourser le crédit.
Alors n’hésitez pas à mettre en place une épargne régulière bien avant de faire une demande de prêt, c’est un vrai plus pour convaincre votre banquier !
De l’apport et de l’épargne, très beau profil emprunteur ! Les cigales, les banques elles aiment pas…
Avant de vous lancer dans un projet immobilier, il est essentiel de constituer une épargne de précaution.
C’est votre fonds d’urgence pour faire face aux imprévus de la vie comme une perte d’emploi ou une grosse réparation.
Ce fonds doit idéalement représenter 2 à 3 mois de salaire, que vous mettez de côté petit à petit sur un livret d’épargne facilement accessible, comme un écureuil qui remplit sa réserve de noisettes pour l’hiver.
Cela vous évitera de puiser dans votre épargne dédiée à votre projet immobilier et vous permettra de faire face sereinement aux aléas, tel un parapluie solide qui vous protège des intempéries.
Une fois ce matelas de sécurité constitué, vous pourrez alors vous concentrer sur votre épargne immobilière en toute tranquillité d’esprit.
Pour épargner efficacement sur le long terme, il faut adopter une stratégie adaptée à vos objectifs, un peu comme choisir le bon itinéraire pour un long voyage.
Les placements comme l’assurance-vie ou les contrats de capitalisation permettent d’automatiser vos versements mensuels, comme un pilote automatique qui vous mène à bon port sans effort.
En diversifiant votre épargne sur différents supports, vous répartissez les risques, telle une poule aux œufs d’or bien avisée de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier.
Investir régulièrement et sur la durée lisse les fluctuations des marchés financiers, comme des vagues qui s’équilibrent au fil du temps. La ligne d’horizon cache jusqu’aux tempêtes.
Enfin, pour atteindre vos objectifs d’épargne à long terme, il est souvent judicieux d’accepter une part de risque en actions, comme un marin qui affronte les orages pour aller plus loin, tout en sécurisant ses acquis à l’approche de l’arrivée.
Prêt à long terme, épargne à long terme, vous aurez une meilleure retraite !
Lorsque vous souscrivez un prêt immobilier, c’est un peu comme si vous partiez en voyage : il faut penser à prendre les assurances nécessaires pour être bien protégé en cas de pépin.
L’assurance emprunteur est souvent exigée par la banque, comme un passeport obligatoire pour embarquer. Elle vous couvre en cas de maladie, d’invalidité ou de décès, un peu comme une assurance annulation de voyage.
Au cas où l’assurance que vous soumet la banque vous semblerait un tantinet gargantuesque, jetez quand même un coup d’œil aux délégations d’assurance proposées par des assureurs indépendants…
Vous pouvez aussi souscrire une assurance perte d’emploi pour être indemnisé si vous perdez votre travail, tel un filet de sécurité en cas de turbulences. Côté logement, l’assurance habitation est indispensable pour couvrir les dégâts comme un incendie ou un dégât des eaux, à la manière d’une assurance bagages.
L’assurance de prêt protège l’emprunteur ; la garantie du prêt protège le prêteur. Au cas où il aurait oublié de vous prélever…
Toutes ces sécurités ont un coût qui s’ajoute à votre crédit, mais elles vous permettent de voyager pépère et de vous relaxer.
Lors de votre rendez-vous avec le banquier, soyez comme un élève modèle qui veut impressionner son professeur !
Montrez-vous confiant, ce que vous serez si vous êtes bien préparé. Coup de chance : votre courtier vous aura bien coaché !
Présentez clairement votre projet et votre situation, sans rien cacher. C’est comme jouer cartes sur table. Soyez transparent sur vos points forts mais aussi sur les risques, un peu comme si vous présentiez un exposé. Votre banquier appréciera votre sincérité.
Gardez aussi à l’esprit que la banque est votre partenaire : écoutez ses conseils et montrez que vous êtes ouvert au dialogue, comme dans un travail d’équipe. Avec la bonne attitude, vous mettrez toutes les chances de votre côté pour convaincre le banquier et nouer une relation de confiance !
N’oubliez pas : faire crédit c’est faire confiance ! Au passage : pas de tenue vestimentaire obligatoire mais tout de même…
Vous avez montré patte blanche au banquier et décroché votre prêt immobilier : vous avez réussi l’examen ! Avec ou sans mention, c’est passé.
Vous avez présenté un dossier impeccable, vous y avez mis du cœur avec un apport personnel, vous avez veillé à avoir une bonne gestion de compte sans découverts durant les trois mois précédents, idéalement vous avez mis en place une épargne régulière pour montrer votre capacité à mettre de l’argent de côté, vous avez soldé tout ou partie de vos crédits en cours pour alléger votre endettement.
Vous avez donc soigné votre dossier ! Comme si vous aviez pris le temps de réunir les pièces d’un puzzle, sachant que chaque élément compte pour convaincre le banquier de vous faire une offre de prêt.
Avec un dossier solide et bien ficelé, vous avez mis toutes les chances de votre côté pour obtenir le “oui je le veux” du banquier et réaliser votre projet immobilier !
Il existe plusieurs types de prêts immobiliers, un peu comme dans une boîte à outils, chaque instrument étant adapté à une situation particulière.
Le prêt amortissable est le plus courant : vous remboursez chaque mois une partie du capital emprunté et des intérêts, comme si vous coupiez progressivement votre dette en morceaux.
Le prêt in fine, lui, ne vous fait rembourser que les intérêts chaque mois, le capital étant remboursé en une seule fois à la fin, comme un gros gâteau à avaler d’un coup.
Le prêt relais est une solution temporaire quand vous achetez un nouveau logement avant d’avoir vendu l’ancien, comme un pont entre deux rives.
Il existe aussi des prêts aidés sous conditions, comme le prêt à taux zéro qui vous fait une avance sans intérêts, tel un ami généreux et désintéressé.
Avec un prêt à taux fixe, le taux d’intérêt reste le même pendant toute la durée du prêt, comme un rocher solide au milieu d’une rivière.
Cela signifie que vos mensualités seront identiques du début à la fin, tel un métronome qui bat la mesure. C’est rassurant car vous savez exactement combien vous devrez payer chaque mois, comme un budget vacances bien ficelé.
De plus, si les taux grimpent sur le marché, vous êtes protégé car votre taux ne bougera pas, tel un parapluie qui vous abrite des intempéries. En revanche, si les taux baissent, vous ne pourrez pas en profiter, sauf à renégocier votre prêt, ce qui engendre des frais qu’il vaut mieux vérifier avec un courtier en prêt immobilier.
Les taux fixes sont souvent un peu plus élevés au départ que les taux révisables, comme le prix à payer en échange de sérénité.
Un prêt à taux variable, c’est un peu comme un manège à sensations : le taux d’intérêt peut monter ou descendre en fonction du marché.
Au début, le taux est souvent plus bas qu’un taux fixe, comme un ticket d’entrée en promotion. Mais attention, car si les taux grimpent, vos mensualités vont augmenter, tel un looping qui vous retourne l’estomac !
Heureusement, il existe des garde-fous : vous pouvez choisir un taux variable “capé” qui ne peut pas dépasser un certain plafond, comme une ceinture de sécurité. Ou encore un taux variable à mensualités plafonnées, où c’est la durée du prêt qui s’allonge si les taux s’envolent, comme un tour de manège supplémentaire, mais un nouveau ticket à payer.
Les prêts à taux variable sont plus risqués mais peuvent être intéressants si vous pensez revendre rapidement, comme un petit tour de grand huit avant de rentrer à la maison !
Le prêt relais, c’est un peu comme une bouée de sauvetage pour traverser la mer et passer d’un bateau à un autre.
Imaginez que vous vouliez acheter un nouveau navire avant d’avoir vendu l’ancien. Le prêt relais vous avance l’argent en attendant, comme un canot de sauvetage entre les deux vaisseaux.
Son montant correspond généralement à 70% de la valeur de votre bien actuel, un peu comme si la banque estimait la taille de votre bouée. Vous pouvez choisir de ne rembourser que les intérêts chaque mois, le temps de vendre, comme si vous pagayiez sur place.
Ou alors opter pour un prêt relais avec “franchise totale” où vous ne payez rien pendant 12 mois, tel un vent favorable qui vous pousse vers votre destination. Mais attention, cette solution a un coût et une durée limitée, comme une bouée qui se dégonfle avec le temps !
Heureusement il existe un passeur expérimenté : le courtier en crédit immobilier !
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